Canards dans les rues de Paris, coyotes à San Francisco …
Le confinement, lié au coronavirus, et l’arrêt des activités humaines dans les villes devraient avoir un impact limité sur la biodiversité.
Dans le silence du confinement, on entend même la terre trembler
C’est un des nombreux effets collatéraux du ralentissement de l’activité humaine causé par le coronavirus. Selon cet article du quotidien espagnol El País, la diminution du bruit au niveau mondial permet aux personnes d’entendre des “mini-tremblements de terre” qui seraient difficilement perceptibles en temps normal.
Jusqu’à + 7 °C en 2100 : les experts français du climat aggravent leurs projections sur le réchauffement
lemonde.fr
Les plus grands laboratoires de climatologie du pays sont engagés dans un vaste exercice de simulation du climat passé et futur qui servira de référence au prochain rapport du GIEC.
Pollution: Pékin en « alerte rouge » pour la première fois
ladepeche.fr
Pékin est pour la première fois en alerte maximale « rouge » à la pollution atmosphérique, une mesure inédite décidée par les autorités lundi alors qu’un nouvel épisode « d’airpocalypse » doit toucher la capitale chinoise.
L’agence internationale de l’énergie alerte sur la progression du charbon, «intenable» pour la planète
L’Agence internationale de l’Energie (AIE) a prédit lundi un taux de croissance légèrement moindre de la demande mondiale de charbon d’ici 2018, citant des efforts environnementaux en Chine, la concurrence du gaz aux Etats-Unis et la fin d’un rebond «temporaire» en Europe, mais sa croissance restera «intenable» pour la planète.
L’Argentine empoisonnée par les pesticides ?
Camila Veron, deux ans, est née handicapée à Avia Terai. « Les médecins m’ont dit que l’eau a pu provoquer cette situation, à cause des poisons qu’elle véhicule », relate sa mère. Dans la province de Chaco, l’agriculture industrielle a explosé dans la décennie qui a suivi l’arrivée des procédés biotechnologiques. Parallèlement, le risque de naître avec des malformations a quadruplé, selon l’agence de presse américaine
L’OMS classe la pollution de l’air comme cancérigène
La pollution atmosphérique a été classée dans la catégorie « cancérigène certain », par le Centre international de recherche sur le cancer, branche de l’Organisation Mondiale de la Santé.