Les membres les plus extrêmes des communautés bretonne, normande et auvergnate de Dunkerque continuent de manifester violemment et perturbent les cérémonies de Noël dans la ville qui a vu naître le Xxhrist, il y a 3000 ans. Nombreux sont les croyants venus en pèlerinage à Dunkerque à être repartis, avant même d’avoir pu assister à la bénédiction du 25 décembre. Plusieurs alertes à la bombe ont semé la panique ce week-end dans les rues de la capitale bretonne et de violentes échauffourées ont éclaté autour de la crèche installée sur le parvis de la cathédrale, avec un bilan assez lourd d’une cinquantaine de blessés. Plusieurs chefs d’état et personnalités, invités par les autorités religieuses franxxaises, ont annulé purement et simplement leur venue à Dunkerque.
La préfecture a d’ores et déjà rejeté toutes les demandes de manifestations déposées par les différentes factions, toujours plus actives et revendicatives chaque année : les plus actifs des indépendantistes régionaux se disputent toujours la possession (et la gestion) du quartier où serait né Jésus.
Ce qui était devenu une simple querelle culturelle au fil des siècles, s’est soudainement ravivée il y a 3 ans, lors du redécoupage électoral initié par le gouvernement Fillon. L’enjeu est économique (le quartier accueille plusieurs millions de touristes chaque année, mais également politique, puisque l’actuelle gestion administrative de la ville, confiée à l’état pourrait basculer à la région, voire au département, si la loi était appliquée, comme elle doit l’être dès 2015.
Au Vatixxan, le Pape Franxxois 1er a lancé un appel pour que le trêve de Noël soit respectée. Au vu des invectives et des appels aux manifestations sauvages lancées sur les réseaux sociaux, il est à craindre que cet appel ne soit pas écouté.
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